Stéphane (les aventuriers du travail nomade), Antoine Bm, Grems, Jordan Peterson, Enzo Honore.. Merci à eux

Parfois l’homme ce comporte comme un Shadok, il pompe. Lorsqu’il court après le bonheur ou cherche à éliminé les problèmes.. il n’agit pas en conscience.

C’est un biais qui nous est propre.. lorsqu’on est rêveur la réalité fait mal. Lorsqu’on idéalise un objectif, il déçoit presque toujours. Notre seul défense face à ces illusions, c’est juste un peu de pragmatisme. Relativiser les désillusions c’est plus facile à dire qu’à faire, mais il faut le dire ! Si l’espoir fait vivre, un échec peut détruire..

Alors si notre nature, nos émotions, notre imagination, font notre humanité.. il faut donc rappeler, que notre cher libre arbitre, nous a mené là où nous sommes. Si tu as choisi la sécurité, il te manquera probablement un peu de liberté et vise et versa. Si tu le sais tu ne te plaindras pas. Sinon, tu seras triste.

Le bonheur c’est : faire de son mieux pour ne pas avoir de regrets. Le reste c’est le la littérature. On en veut toujours plus, voilà aussi notre nature.. La liberté n’existe pas, l’indépendance également, on ne peut que tendre a.. prendre le chemin et apprécier le voyage. 

Ok ok en terme d’entreprise tu peux le comprendre c’est exactement la même chose. Tes choix, bons ou mauvais, te feront grandir bien plus que tes succès seuls. Tu ne dois pas souhaiter une quelconque stabilité, tu dois être prêt à te remettre en question à chaque virage.. la marge de progression n’a pas de limite.

Puis, ce que tu produit, ce que tu vend.. le monde en a besoin ! Mais il ne te regard pas. Non pas parce qu’il ne t’aime pas, mais parce qu’il ne te voit pas, ne te connais pas. Alors va a sa rencontre, présente toi.