Subjectif..

Rien n’est complètement noir ou blanc et c’est un casse tête. Le bien, le mal, ce qui est beau, ce qui ne l’ai pas, l’échec, le succès, etc. Nous somme tous écartelé dans des certitudes. Certitudes qui ne sont que des chimères, relatif à une époques, une société, le tout mis en perspective dans une histoire. Histoire écrite par une minorité, de gagnants, lettrés, pour une communauté majoritaire et/ou dominante. Le temps a déjà fait son œuvre de bouleverser les croyances, les tendances et les mœurs vont avec le vent. Bref.. celui qui prêtant avoir le vérité absolue et un fou.

Je parle ici (keiken) d’émancipation et cela sous entend évidemment.. la liberté, une forme de bonheur, mais tout ceci est relatif. A mon échelle, j’entends se libérer, comme une première étape et le bonheur personnellement, je ne lui est pas vraiment donné forme (à l’instant : faire de son mieux pour ne pas avoir de regret..). Mon métier par exemple, le graphiste est constamment confronté à la subjectivité, des goûts, des couleurs. Les codes et la tendance évolue, comme les canons de la beautés : la vénus callipyge n’est en rien celle qu’on mis sur les podium de haute couture pendant des années, et celle-ci n’est pas l’instagrameuses populaires d’aujourd’hui. Les normes et la mode est une tyrannie, cyclique, qui faut prendre avec pas mal de recule.. celui qui est à la pointe de la mode d’aujourd’hui est déjà le ringard de demain. 

Paradoxal.. 

Je prétend ici (keiken) inspirer et former, woaw.. que c’est prétentieux n’est-ce pas ? Je le sais, mais il faut bien mettre des mots. Et pour utiliser ces mots je dois m’appuyer sur des faits, un travail que j’aurais accomplie par rapport a d’autres. Ce qui ne fait pas de moi le meilleur dans le monde, mais juste face un interlocuteur précis. Peut être que mes expériences peuvent être utiles à quelques uns, inutiles pour nombre d’autres. En somme, notre compétence, notre talent ne dépend que de celui qui est en face. Le syndrome de l’imposteur à donc un fond de vérité. Le titre, la fonction ou le rôle acquis n’est pas immuable. (Cf. ni leader, ni divin, ni rebelle, ni neutre, ni bouc émissaire..)

En réalité je suis paradoxal. Je crois par exemple en la force du nombre ou l’intelligence collective, mais j’ai dans le même temps une crainte des mouvements de foule, de la pensé unique. J’ai pu vérifier des tas de fois qu’une personne isolé et souvent, bien plus ouverte qu’en publique. L’égo et l’influence sont souvent les problèmes, mais la nature de l’humain seul a les même aspirations, besoins primaires. 

Alors quelques soit les mots choisis, les termes exprimés pour développer des idées, des théories, comme votre business, produit, promesse, argumentaire de vente, etc. Cette verbalisation servira a nos détracteurs, elle sera la base de notre disqualification. La définition, étymologiquement, ce sont les limites qui donnent du sens aux mots. Mais les limites n’existe pas, dans le réel. Oui, elle est une invention humain pour nous aider à comprendre, accepter.. l’idée de l’infini nous fait peur, alors homme doit absolument trouver des réponses, un début, une fin. Il y a l’infiniment grand, l’infiniment petit, il y a l’échelle de temps et toutes ces incertitudes qui nous tortures. Donc une idée exprimé, composé de mots, donc définissables est par nature, un partie prie, donc contestable.. 

C’est pourquoi il y a des débats qui reste stériles, des questions sans réponse. Parce que notre cerveau et l’univers sont infiniment complexe. 

Philosophie.. 

La philosophie pour l’homme et un laboratoire, sa nature, son corps, ses pensés et son environnement y sont analysés. Beaucoup se rattachent à ces figures qui ont mis des mots sur notre condition, mais la vérité n’y est pas. Comme l’art, inutile en réalité de débattre. Il faut prendre la philosophie comme elle est, un axe de réflexion qui de toute est façon biaisé puisque humain. 

Ces penseurs finalement n’ont laissé que des pistes. C’est un cadeau à l’humanité et c’est nous d’extrapoler. Un peu comme les travaux de mathématicien inachevés, que d’autres utilisent pour enfin apporter une réponse, physique ou biologique. Mais une solution, qu’elle soit scientifique, philosophique ou artistique, elle ne fait qu’amener une une autre question. Parce que l’homme reste comme cette enfant qui répète sans cesse : et pourquoi.. 

Si la question ouvre une porte, la porte de l’esprit, une réponse la ferme. C’est pourquoi il y une forme de réponse, une piste de solution, etc. Le chemin est plus important que la destination. 

Succès.. 

Comme la définition, la classification est essentiel à notre cerveau. Il y a le gagnant et le perdant, le fort, le faible, celui qui sais, celui qui ne sais pas.. moi je ne sais rien, je crois savoir, je pense que de doute est une bonne chose, que l’échec fait progresser, que la chance est parfois l’allié du succès. Je crois aux valeurs du le travail, mais que celui ne reçoit pas toujours le salaire qu’il mérite. Je pense que le bonheur des uns fait le malheur des autres, comme la richesse et la pauvreté. Aussi vrais qu’il y a le chaud et le froid, il y a la joie et la peine. En gros.. comment apprécier le succès à sa juste valeur si on n’a pas commue les méandres de l’échec ? Mais surtout.. ou s’arrête le succès, le bonheur, la richesse.. comme je vous l’ai dit plus haut il n’y a pas de limites dans notre monde réel. Notre cerveau pense qu’une récompense lui suffira ? Mais non, elle est comme cette question éternelle.. et pourquoi ? Pourquoi pas plus, pourquoi pas mieux.. 

Bonus..

Provoquer le changement..